Poudlard, ecole de magie
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 La Fille Pharaon

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Johanna Malefoy
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Johanna Malefoy


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MessageSujet: La Fille Pharaon   La Fille Pharaon Icon_minitimeMer 22 Juil - 17:13

Prologue :



La jeune fille se promenait sur la rive. De l'autre côté se trouve la vallée des morts. Elle souffrait. Elle se sentait seule, exclue. Le sable collait son visage. Ses cheveux blonds s’emmêlaient. Ses yeux foncés étaient fatigués. Le mistral ne s'arrêtait pas. Le vent faisait tanguer son bateau, amarré un peu plus loin. Elle ne devrait pas être ici. Son oncle le lui avait défendu. Elle se ferait punir, mais elle devait connaître la vérité. Elle lui a été trop longtemps cachée. Elle irait sur l'autre rive. Cela ne peut plus durer. Elle se devait de connaître la vérité. Elle devait savoir. Elle voulait savoir.

Elle s'approcha lentement de la barque. Elle l'a détacha. Elle la laissa glisser doucement sur l'eau. Elle finit par arriver de l'autre côté de la rive. Elle amarra sa barque. Elle se releva puis avança. Son pied laissa une marque sur le sable. Elle était allée trop loin. Elle ne pouvait faire demi-tour. Mais elle s'en fichait. Elle s'avança dans le cimetière. Ce n'était pas n'importe quel cimetière. C'était celui de la famille impériale. Elle devait la trouver. Elle erra longtemps dans ce lieu de mort. Puis elle fini pas la trouver. Elle était au loin. Seule. Mais somptueusement décorée. Voilà. Elle avait finit par trouver. Elle se laissa tomber à terre. Elle pleura. Longtemps.

Puis elle finit par se relever. Téméris se tenait devant la tombe de son père. A côté de celle des autres pharaons.




Chapitre 1 :

Ithou fut surpris par un bruit sourd, bruyant. Le maître de maison se restreint à se lever. Pourquoi donc les ouvriers de Thèbes ne travaillaient-ils pas dans la journée. Vers 10 heures, quand lui ne serait pas là. Il se rendit vers la salle à manger, en baillant. Décidément, Thèbes n’était pas une ville tranquille. Il entrait dans la pièce, occupée par Senbet, la cuisinière.



Celle-ci le regardait avec étonnement. Qu’est-ce que son maître faisait à la villa à cette heure-ci ?

- Maître Ithou avez-vous oublié quelque chose ?

Ithou regarda la cuisinière avec méfiance :

- Senbet, que me racontes-tu là ? Je me lève comme tout les matins, à l’heure où le coq chante ! Et puis, toi ! Comment se fait-il que tu sois déjà habillé ?

Senbet pouffait de rire.

- C’est que mon maître, le coq a chanté depuis longtemps ! Il est déjà 10 heures et vous n’êtes pas à la bibliothèque !

Ithou s’affola. Aujourd’hui, dans la grande salle de la bibliothèque, allait converger, comme chaque mois, des scribes très importants, discutant sur la répartition de terres entre paysans. Et il faisait partie de cette assemblée.

- Malheur ! Je ne me suis pas réveillé ! C’est vrai que je trouvais cela étrange que les ouvriers du palais commencent les constructions à cette heure-ci.

Il aurait du se rendre compte qu’il était en retard.

Il se rendit dans sa suite, en courant. Il commençait à s’habiller, quand il fut pris d’un moment de doute. Et si la cuisinière lui avait menti ? Elle n’est pas très fiable, la petite égyptienne, mais comment en être sûr ? Mais oui ! Il y avait un moyen. Sa filleule, Téméris, allait à la Maison de Vie tout les matins pour y recevoir son enseignement. Si elle se trouvait sur son lit, en train de dormir, alors Senbet lui avait menti.

Il sortit de sa suite, s’avança doucement vers la chambre de Téméris, et l’ouvrit. Non. L’égyptienne ne lui avait pas menti. Il n’y avait personne à la villa. Tout le monde travaillait à cette heure ci.

Il avait perdu trop de temps. Il se prépara vite et partit si rapidement de la maison, qu’il n’entendit pas les indignations de la cuisinière, mécontente qu’il n’ait pas pris son déjeuner.


Le groupe s’avançait lentement vers le site. Cela était si beau, si somptueux, qu’ils en restaient bouches-bées. Mais ils n’étaient pas là pour admirer le paysage qui s’offrait à eux ! Ils étaient passés par là, car le pont qui relie la rive gauche à la rive droite, s’était brisé. Ils devaient donc passé par la cité des morts.

Ce fut un jeune scribe, qui la vue en premier. Au loin, se dessinait une masse sombre. Le jeune garçons, certes, trouvait cette vallée extraordinaire, mais ce qui se passaient là-bas, étaient encore plus étrange. Il s’approcha donc de la silhouette, et vit une chose terrible. Par terre, reposait le corps d’une jeune fille. Son visage était cachait par ses cheveux blonds, ses bras nus étaient maculés de sable, ses pieds étaient déchirés. Cette fille souffrait. Cela se voyait. Il se pencha, la souleva, et essaya de la ramener à la vie. Mais la jeune fille ne bougeait pas, son corps ne répondait plus. Le garçon s’inquiétait, et le groupe l’attendait. Il décida alors de la laisser là, et d’aller prévenir les autres. Quand il mit au courant son supérieur, il ne le gronda pas, mais il le pressa de lui montrer le corps de la jeune fille. Son maître la trouva vite, et il décida d’abandonner la mission et de la ramener à la ville, avec Ahmôsé.

La jeune fille fut conduite au temple de Sekhmet, la déesse de la Médecine.


La jeune fille se remettait à peine de son absence, qu’une jeune infirmière entrait dans sa chambre, suivie d’un garçon de son âge :

- Voici votre sauveur mademoiselle, dit-elle en désignant celui-ci.

La patiente le regardait d’un air bizarre. Il portait un pagne court d’une couleur terre cuite, ses cheveux coupés courts en calotte. Cela lui rappelait quelque chose . . . Mais oui ! Ce garçon était un scribe, enfin un apprenti scribe ! D’ailleurs, il portait avec lui une étrange mallette, qui révéla son contenue quand le jeune homme se cogna dans le lit, tout gêné. Tombèrent, palettes, calames, encrier, mortier, gobelet d’eau, rouleaux de papyrus, couteaux, polissoirs et sceaux. Confus, il ramassa ses affaires.

Il se releva, lui sourit, et baissa la tête :

- Désolé, grommela-t-il.

La jeune fille fut à son tour gênée par cette situation qui leurs faisait face.

- Ô, mais je vous en prie. Ce n’est point grave.

Mais qu’est-ce qu’elle disait !

- Puis-je savoir votre nom, jeune sauveur ?

Ou la la ! Si elle continue, il la prendrait pour une fille de haut fonctionnaire. Ce qu’elle était.

Le garçon ne parut pas choquer pour cette raison, mais pour une autre :

- Je n’y suis pour rien ! C’est mon maître qui vous à conduit a l’hôpital, se défendit-il.

La jeune fille sourit. Ce garçon était trop timide pour un futur scribe !









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